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Vie et moeurs de monsieur Henry Dickson

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lundi

INTERROGATOIRE 13

ICI, NOUS PARLERONS DES ROMANS





http://henrydickson.blogspot.ca/


Ce fut le premier.

Commencé après DOUTEUR 
comme une aventure et plutôt un passe-temps ou un jeu de patience, 
bientôt un work-in-progress mais n'allant nulle part
et certainement pas sous forme de roman

Et si c'était un début de roman,
il allait être sans histoire, 
lieu, héros ou héroïne 
- tout ceci vint plus tard par surcroit. 
Comme on dit. 

Et le héros porterait le nom de l'auteur
À la manière de Frédéric Dard et son commissaire de police San Antanio
qui vivait les histoires qu'il racontait

L'écriture fut en soi une aventure
et elle se continue.

http://poignarder.blogspot.ca/


- Pourquoi Sherlock Holmes ?

- Je passe en revue les genres littéraires. Pour commencer le Roman policier.

- Et Sherlock Holmes est le prototype du roman policier moderne. Avec encore plus hallucinatoire, le détecte de Poe.

- Il y en eut tant.

- Mais pas n’importe quel. Le visage est celui de Peter Cushing. Mais ici, mon personnage est plus jeune. Je ne perd pas à l'esprit qu'il aura le visage torturé de Peter Cushing, l'ennemi de Dracula dans les films de la Hammer. 


La Revanche de Frankenstein
La Maison qui tue - The House That Dripped Blood

Dr. Jekyll & Mr. Hyde

Sans encombrement de petits copains ou de son médecin. Parce que dans la littérature populaire, il faut que le héros ait un double encombrant. Ou un petit ami comme Alix. Afin de lui éviter de parler tout seul. Et pour qu'un public plus jeune s'indentifie aussi. Et que de plus vieux messieurs fantasment sur Enak, le compagnon d'Alix. 

Ma version n’est pas fidèle au texte et s’inspire aussi du chevalier Auguste Dupin d’Edgar Allen Poe traduit par Beaudelaire

Dans la section FanArt:


Les lectures de l’oncle Paul

Edgar Poe érotique. On n’a pas tout vu.

Et Dupin, revu par Guido Crepax en BD

http://www.edgarallanpoe.it/fumetti/edgar-allan-poe-interpretato-da-crepax/

Le roman HENRY DICKSON. HISTOIRES DE FANTÔMES est une boite à chapitres, à idées ou à images. Quand j'en tiens une, je l'y met. Pas besoin de la classer dans mes papiers au risque de la perdre.

Les autres romans sont dans la catégorie «boites à romans». Un peu comme les casiers postaux. J'ai trouvé l'idée du roman, ensuite le titre. Et ça n'a pas été plus loin. J'étais content comme ça. Ensuite, il y a eu 1 idée et 1 chapitre, au moins, pour chacun.

Pas plus que pour HENRY DICKSON, je ne sais où je vais.

Et il se peut que ça n'aille pas plus loin que le titre du livre. Mais si ça va quelque part, s'il y a plus d'idées, au bout de 100 idées ou 200 pages. Je termine le tome I. 200 pages, c'est assez pour un roman.

Même si pour HENRY DICKSON, c'est plutôt 1000 pages chacun. C'est pour le goût de la prouesse et de créer un univers.

Ollé!