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Vie et moeurs de monsieur Henry Dickson

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vendredi

INTERROGATOIRE 7

LE NOM HENRY DICKSON

- On en a donc 2 pour le prix d'un.

- Le nom identifiant le commentateur de Radio-Canada. Et du Devoir. Et de l'Actualité. Et de Voir. Ect. Pendant un temps, j'ai aimé bavardé.

- Vous aviez bien du mérite. On gardera un de vos os comme relique.

- Et il y avait ce site dont je ne savais quoi faire.

- C'est nouveau.

- J'avais pensé m'en servir comme armoire pour mes commentaires pour un usage futur dont je n'avais pas idée. Mais l'idée ne m'amusait plus. Je n'ai été dans ce sens que pour un sujet - celui des sous-marins canadiens.

- Le Canada avait besoin de sous-marins.

- Autant que d'avions F-35. Mais que ne ferait-on pas pour faire joujou avec des substituts du pénis ( ainsi certains décrivent comme les armes à feu )

- Il faudrait dire ça aux uessaiens.

- On n'est plus à la première guerre mondiale avec les combats entre avion de papier dont le fantasme est resté dans l'esprit de Snoopy, le chien de Charlie Brown. Ou les combats de la guerre d'Angleterre. Ou même du Vietnam. Un missile t'envoie 1 avion de 100 millions ou 1 bombardier de 1 milliard en Enfer. Et avec les drones, on peut rejouer ces combats, en les munissant de mitrailleuses. Ou en envoyant 1 contre 1 avion. 1 million $ contre 100 millions $. Un vrai pilote qui peut mourir et des amateurs de jeux vidéos dans une roulotte climatisée à l'autre bout du monde qui joue en temps réel avec des images par satellites. Et 1 sous-marin d'1 milliard. Et 1 porte-avion de 100 milliards. C'est ce qui a démotivé tous les braves gens qui s'apprêtaient à bombarder la Syrie. Rejouant le coup Irakien ou Libyen. Le crétin de Radio Canada qui montrait sur sa grosse TV la position des bateaux US, anglais, canadiens, français. Où iraient leurs missiles - c'était pour le lendemain. Et comme tout le monde voulait participer à la fête. Il y avait l'armée. Il nous montrait les bases de l'OTAN (en réalité US) en Italie. Et ailleurs. Et le trajet vers la Syrie. Ils passeraient au-dessus de tel pays. Et l'aviation. Les avions des bombardiers US. Et les avions des autres pays partant des bases ici et là. Et les canonniers. Car sur les bateaux, il y avait aussi des canons. Ils étaient au rivage de la Syrie. Il fallait bien qu'ils participent au barbecue. Le carnage allait commencer. Et comme lors de la première attaque contre l'Irak et la deuxième, il y aurait des employés des médias - bien en sécurité ailleurs - pour nous montrer : oh! la belle blanche! Oh! la belle bleue! Ce doit être un missile! Boum! Vous entendez: Boum! Ici, à juger par la boule de feu, c'est une grosse bombe. Une vraiment grosse. J'ai 1 érection. Comme il était content. La deuxième fois, c'était encore mieux: dans le lit du conquérant. Embedded qu'ils disaient. La deuxième fois, on nous avait raconté que les US avaient inventé une super-bombe qui jeté d'un avion était téléguidée jusqu'à la cible mais n'explosait comme les bombes moches ordinaires. Elle se transformait en missile et fonçait dans le sol et pouvait traverser ça et ça de béton. Jusqu'à arriver au bunker où ça sautait. On avait donc trouvé le bunker où se cachait Saddam Hussein et on lance la bombe. Tout fonctionne. Une bonne bombe. On en voudrait plus. Puis on nous dit que ce n'était pas le bon bunker. Il n'y avait que des civils. Des femmes. Des enfants. La bombe avait parfaitement fonctionné. Tout le monde avait grillé vivant. Pas de chance! On s'est servi des mêmes bombes en Afghanistan contre les bunkers de Ben Laden. Il y avait des dessins. Comme dans James Bond. Avec ascenseurs. Escaliers roulants. Une vie de pacha. Ernst Stravro Blofeld. Olrik. Zorglub.

- Donc tous ces braves gens attendaient le méchoui de syriennes.

- Assad avait traversé une ligne rouge selon monsieur Bush no. 3. Obama. Le père. Le fils. Et le Saint Esprit noir. Et le frère du second voudrait se présenter. Tant qu'à y être. La Ligne Rouge était un supposé bombardement de gaz contre des civils. Parce que Assad est méchant. Il se bat contre une armée et a le temps de bombarder des civils. Pas avec des bombes ou des obus, il en a plein. Mais avec des gaz. Parce qu'il a du temps à perdre, est vicieux et méchant. Ça a choqué tout le monde choquable parce que les gens étaient morts gazés et non brûlés vifs comme font les US et les Israéliens avec des bombes au phosphore. On est délicat ou on ne l'est pas. Les Russes qui ont des satellites ont montré que le tir venait des zones occupées par les terroristes combattant Assad. Il s'agissait d'accuser le gouvernement et ça a failli marcher. Les lamentations mondiales de tout ce qu'il y a de tueurs gouvernementaux - parce que chacun a eu ses petits meurtres à soi -

- Bref, Assad allait prendre une raclée.

- Le gars à la TV devant sa grosse TV était tout excité. Le zipper de son pantalon était sur le point de lâcher.

- Finalement, il n'y a rien eu. On est comme déçu. Il nous semble qu'un peu de meurtres, de femmes éventrées, de bébés en morceaux - ça manque!

- Et les aveugles. On oublie les aveugles. Avant tu vois. Après le flash, tu a les yeux brûlés. C'est bien. Moderne. On oublie les poumons brûlés aussi. Il y a des bombes qui aspirent l'air, l'enflamme et tu respire tout ça. On s'en est servi en Afghanistan. On a vu les bombes. On les a expliqué. Mais on n'a pas vu les blessés. Tout noir. Ni les bruns (leur couleur de peau) tout noir et morts. Les supposés journalistes qui allaient là-bas au frais de la Reine ne nous en parlaient jamais. Des misères de nos soldats, oui. Comme ils souffraient. Mais des bébés brûlés. Non. Des enfants pas de bras ni de jambes. On est comme déçu. Pas de photos. Ni de film. Aucun souvenirs. Et on ne parlait pas non plus des champs d'opium. Ou de pavots. Partout. Pour faire joli sur cette terre ingrate. Protégés par nos troupes.

- On n'est pas en Russie. Où les gens sont pas informé. Où ils ne disposent pas comme nous d'une information libre et diversifiée ou on présente les 2 points de vue pour ne pas avoir l'air d'avoir un parti pris. Comme si cette chose était possible. Ça s'appelle la déontologie. Il y a un truc pareil à la police. Et, probablement, à la Chambre de Commerce. Tous de braves gens. Comme on est content de ne pas être en Russie.

- Ils bandaient comme des cochons - et ça bande un cochon. La queue en tire-bouchon ce n'est pas un conte. Et c'est pas la queue contente au bout du cul.

- Tout à coup, sans que le spectateurs qui a l'impression d'en avoir manqué un  bout, comprenne - tout d'un coup, ces braves gens sont redevenus sages. On se met soudainement à penser. C'est si inhabituel qu,on pense encore à une nouvelle grippe du cochon, du canard ou du poulet. Un type encule une oie et voila que tout le monde tousse.

Le ministre de la défense et celui des affaires étrangères Canadiens pensent. On en tombe de notre chaise.


Le fauteuil avec repose pied Charles & Ray Eames  (Eames Lounge Chair) « qui révolutionne le siège de détente.» Encore fabriqué par Herman Miller. Qui voulait qu’il ait l'aspect inspirant d’un gant de baseball usé.

«Charles Eames said his goal for the chair was the] warm, receptive look of a well-used first baseman's mitt. ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eames_Lounge_Chairhttp://www.hermanmiller.com/products/seating/lounge-seating/eames-lounge-chair-and-ottoman.html

Quoiqu’un La-Z-Boy soit très bien aussi. Avec 6 moteurs pour chauffer et masser.
Et le président des USA pense. Et le premier ministre d'Angleterre aussi. Sauf le président Français. Les pauvres, ils pensaient avoir pigé mieux que Sarkozy. L'autre, c'est tout intérieur. Le con transi. 

Et le chemin de croix de la raison commence. Péniblement. Comme à Sainte-Anne de Beaupré, à côté de la basilique, il y a une chapelle avec des marches de bois sur la colline et on peut les escalader à genoux. C'est très bien.

Donc le projet onvatubombarderAssadoubedonnon! est soudainement voté au parlement anglais. La veille, c'était pas nécessaire. Obama soumet le même projet au Congrès. Et tout ce beau monde hésite. Ils savent probablement quelque chose qu'on sait pas et qu'on saura pas - même maintenant, on sait pas. Parce que tous les politiciens ont tous voté contre. Sauf Hollande qui aurait bien voulu bombarder tout seul. En scooter.

- C'est beau les médias:

Transparence et responsabilisation
 À titre de radiodiffuseur public national, CBC/Radio-Canada prend très au sérieux son obligation d'être transparente et responsable envers les Canadiens. Pour s'acquitter de ses responsabilités, la Société donne un large accès à l'information sur ses activités et sur la façon dont elle gère les ressources publiques. Afin de documenter notre expérience dans le dossier de l'accès à l'information, nous avons produit une vidéo à l'aide de notre expertise à l'interne. 
http://www.cbc.radio-canada.ca/fr/rendre-des-comptes-aux-canadiens/transparence-et-responsabilisation/

- Toutes ces pensées soudaines de politiciens penseurs, ça vous a un air de Sainte-Anne-de-Beaupré - encore - dans l'église, sur les colonnes, des tas de béquilles et prothèses laissés par des malades et infirme guéris. Un miracle. Autant de miracles parmi les politiciens prouve hors de tout doute l'existence de Dieu.

- Mais cette pensée serait venue toute seule ?

- Ils auraient été aidés.

- Je me doutais.

- Il paraît - mais c'est pas ici qu'on va nous en informer - tiens, une autre tentation



Normes et pratiques journalistiques
http://www.cbc.radio-canada.ca/fr/rendre-des-comptes-aux-canadiens/lois-et-politiques/programmation/journalistique/
Nous sommes le service public national de nouvelles et d'information des Canadiens.
 Nous sommes enracinés dans toutes les régions du pays et notre regard se porte sur l'ensemble du Canada, de même que sur le monde.
Nous nous assurons d'offrir une perspective canadienne sur l'actualité internationale.
(…)
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Notre mission est d'informer, de révéler, de contribuer à la compréhension d'enjeux d'intérêt public et d'encourager la participation des Canadiens à notre société libre et démocratique.
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Nous tenons à refléter fidèlement l'éventail des expériences et des points de vue des Canadiens. 
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tout en étant conformes à nos valeurs.
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Nous sommes conscients des conséquences de notre travail journalistique et de notre devoir d'honnêteté auprès des auditoires.

Nous n'hésitons pas à corriger une erreur, si nécessaire, ni à effectuer un suivi lorsqu'une situation évolue de façon importante.
Le Bureau de l'ombudsman examine nos pratiques à la lumière des normes établies par les présentes politiques.

Nous offrons ouvertement au public les moyens d'évaluer notre performance et de nous demander des comptes, 
notamment en partageant avec lui les éléments de mesure que nous employons pour évaluer la qualité de notre travail journalistique.
Nous gérons nos ressources de façon responsable.

Nous visons l'excellence et le respect des meilleures pratiques dans notre action journalistique.
Nos valeurs
Exactitude
Nous recherchons la vérité sur toute question d'intérêt public.

Nous déployons les efforts nécessaires pour recueillir les faits, les comprendre
et les expliquer clairement à notre auditoire.
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Au cours de la collecte d'information et dans nos reportages, nous traitons les personnes et les organismes avec ouverture et respect.
Nous sommes conscients de leurs droits.

Nous les traitons sans parti pris.
Équilibre
Nous contribuons aux débats sur les enjeux qui touchent le public canadien en présentant une diversité d'opinions.

Nos contenus d'information, dans tous nos médias, offrent un large éventail de sujets et de points de vue.
Lorsque nous abordons des sujets controversés, nous nous assurons que les points de vue divergents sont reflétés avec respect.

Nous tenons compte de leur pertinence dans le cadre du débat et de l'ampleur du courant qu'ils représentent.
Nous nous assurons également de présenter ces points de vue dans un délai raisonnable. 
Impartialité
Notre jugement professionnel se fonde sur des faits et sur l'expertise.

Nous ne défendons pas un point de vue particulier dans les questions qui font l'objet d'un débat public.
Intégrité
La confiance du public est notre capital le plus précieux.

Nous évitons de nous placer en situation de conflit d'intérêts réel ou potentiel. 
Cela est essentiel au maintien de notre crédibilité. (...)



- Et vous en avez déduit ?

- Bien sûr, par soucis de tenir constamment informé la population, on ...

- Ouin !

- Suffisait de pitonner. Tous les beaux bateaux qui se préparaient à libérer massacrer la population Syrienne, reçurent de l'aide. Non pour afin d'envahir et de tuer mieux mais dans un but pieux de penser davantage.

- Ce qui est toujours bien

- Un certain nombre de bateaux russes - on dit 2 ? - se glissèrent au milieu de la flotte alliée (les bons) (nous) et s'interposèrent entre le rivage Syrien et la flotte de la liberté. On dit qu'avec eux, il y avait le nouveau modèle de torpilles «tueuse de porte-avion» (c'est vilain). Indétectable et sans aucune possibilité de contre-mesure. 1 torpille et 1 porte-avion de 100 milliard kapout. Déjà, c'était embarrassant la présence des bateaux russes. Pas le nombre. Ou la puissance. Malgré les fameuses torpilles. Il y avait aussi de nouveaux missiles. On avait toujours le choix. Les couler. Essayer de les couler. Se faire couler  à moitié. Parce que les bateaux russes ne pouvaient gagner contre tous ces bateaux et ces avions. Mais quelque soit la solution, elle impliquait une guerre mondiale contre la Russie. Pays où il fait bon vivre. Avec des gens un peu grognon mais si attachant!  Cette fois, on n'avait plus affaire à un pays du Tiers-Monde (ce que n'est pas la Syrie mais ce que des efforts sincères ont essayé). On était entre puissance. Les vrais. Les seules qui comptent. Et la Russie ne serait plus si distraite lors des discussions du Conseil de Sécurité - les principaux pays nucléaires - les vainqueurs de la Dernière Guerre qui se sont partagés le monde. 

La Communauté Internationale dont on parle tant n'existe pas. 

Ce qui y ressemble le plus, c'est l'ONU avec 193 pays. Qui peuvent voter pour faire des choses ou ne rien faire. Mais si on veut attaquer, faut passer par le C.S. Et, encore là, on reste dans le flou à la Turner. 


 http://www.un.org/fr/sc/ 
Le Conseil de Sécurité compte 15 membres disposant chacun d’une voix. 
5 membres permanents ayant droit de veto et 10 membres non permanents élus par l’Assemblée générale pour une période de 2 ans.


On reste dans le vague. Les 193 pays de l'ONU votent. S'il y a une majorité - si on parle de réprimander Israël pour son traitement Polonais des Palestiniens, les USA feront obstruction. S'il y a entente, ça va devant le Conseil de Sécurité. Les 15 votent. C'est très démocratique. Si un des 5 membres permanents (5) (cinq) aime pas, il annule le vote de tous les autres par son véto. Et la Russie et la Chine ont droit de véto. Rien ne se fera sans eux. Ou contre eux. Sinon bobo.

C'est comme ça que fonctionne le monde.

Les USA peuvent passer outre et attaquer directement ou passer le contrat d'assassinat à leur Golem, l'OTAN. 

Tout le monde qui en a la volonté et les moyens, assassinent ici et là, fait des coups d'État discrètement. Une guerre, c'est très voyant. Avant d'en arriver là, on agit dans l'ombre. Et, avant une guerre, lorsque l'assassinat est compliqué mais pas impossible mais que le résultat est hasardeux - on veut bien tuer le président mais celui qui prendra sa place sera pire. Plus jeune. Plus énergique. Il ne nous devra rien. Alors, on achète ou crée des partis politiques. Des journaux. Des écrivains. Ou on crée carrément une armée rebelle, subventionne des fanatiques déjà existant. Pour des raisons d'État ou d'économie. Une armée privée est très pratique pour massacrer et faire fuir une tribus qui se trouve près de notre mine ou qui empêche son agrandissement. Ils vont chialer et des humanitaires vont pleurer partout. Tandis que s'il y a une guerre civile dans le coin - qui paie qui? qui arme? quelle arme? Un parti politique coûte cher - parlez-en aux Libéraux et aux nazis - que dire d'une armée privée !

Mais pour une vraie belle guerre, il faut passer par l'ONU. Ou y aller carrément comme les USA avec ses chiens de poches comme en Irak, la deuxième fois. Qui osera protester?

- Par contre, on punit la Russie pour s'être mêlé de la politique Ukrainienne. Alors que c'est nous et nos services secrets qui ont fait le coup d'État qui a destitué l'ex-président. 

- Combien de temps, combien de fois, jusqu'à quel niveau de douleur peut-on punir la Russie?

- Bonne question: à un moment donné, lorsque la Communauté Européenne - chiens de poche des USA, le FMI ou la Banque Mondiale ou les Agence de Notation iront trop loin, le ministre des Affaires Étrangères Russe dira: à partir de ce point là, c'est la guerre ?

Quoiqu'on fasse, on en revient là. Conseil de Sécurité et droit de véto - qu'on veut enlever à la Russie. Qui osera ? Ou on va par derrière pour l'enculer pouce par pouce. Arrive un moment d'inconfort à ce qu'on dit.

Chine. Russie. 

Pendant que l'Occident (les anciens esclavagistes) fait des grimaces, la Russie et la Chine signe un traité de vente de gaz. 

L'accord prévoit l'exportation vers la Chine de 38 milliards de mètres cubes de gaz russe par an pendant trois décennies, pour un montant total estimé à plus de 400 milliards de dollars américains
 22 mai 2014
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/05/21/004-gaz-russie-chine-contrat.shtml
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Commentaire de Sebastien Lucas sur RC
Ils sont juste a coté un de l'autre avec cette accord ils peut fermer le robinet de l’Europe.4000 ans d'histoire et c'est eux qui contrôle la planète.


Mais si on marche sur les pieds de ces 2 là. Encore là, Guerre Mondiale. La Dernière. Avant de retourner à la traction animale par cheval ou boeuf pour 1000 ans. Car il restera sûremen 

- Finalement, on recula pour mieux sauter. Et ce fut le coup d'État en Ukraine. On y est encore. 

- Et la Guerre Mondiale?

_ Jusqu'où est-on prêt à aller ? Combien de centaines de millions de morts, cette fois. On peut passer au milliard. Tout le reste n'est que posture et simagré. Le dindon en position d'attaque, menaçant, regardant le paysage d'un air sombre et terrible.

- On dit que le dindon courroucé est un animal terrible.

- Quelqu'un qui travaillait dans une ferme d'élevage de dindons disait que cet animal - le dindon d'élevage pas le dindon sauvage qui n'existe presque plus - est si niaiseux que si le  troupeau est effrayé, les dindons grimpent les uns sur les autres et s'empilent en pyramide. Comme ils sont très lourd et très stupide, ils vont resté juché là jusqu'à ce qu'ils crèvent presque tous étouffés et écrasés par la masse de dindons.

- On dirait des politiciens.